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transmettre à un(e) ami(e) |
# 09 |
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la Netexpress de Beadoa
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Beaujour,
beausoir.
Ce courrier
électronique n'est que le telex bimensuel de l'association
beadoa (Bien Engagés Autour Des Oreilles Associés)
et non un SPAM disgracieux et encombrant.
Je traîne.
Elle traîne. Il traîne. Nous traînons. Beadoa
CS essaie de tenir la périodicité de ces netexpress
mais dérape un peu ce mois-ci. Peu importe, nous rattrappons
le retard avec une petite série de nouvelles plus ou moins
fraîches voire brulantes.
laissons glisser
nos souris et à dans 15 jours.
beadoa
Média Central Services au 28 juin 2004
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fin de party
de l'apéro sonnant*
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Beadoa Central Services et tapiole.com ferment
ding dang
dong
Parce que
toute bonne chose a une fin et que la chaleur ramollit les
neurones de l'équipe organisatrice, plus préoccupée
à rechercher ses prochaines destinations estivales
(le repos, du repos, notre repos) tout en travaillant à
sa rentrée manifestive, l'apéro sonore est
en congés.
Rendez-vous
cependant, pour des poses urbaines chez Olga, Mike et Luc
(merci à eux) à
L'escalier*
8 rue de la Platière
Lyon 69001
M° : A * Hôtel-de-ville
Remerciements
à tous les visiteurs et amuseurs (et déclinaisons
féminines) pour leur participation à ding
dang dong*
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special sonar*
zone critique
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Sonar 2004*
du 17 au 19 juin 2004
Ouf. Nous sommes revenus vivants
du plus grand, plus beau, plus éprouvant des festivals
de musiques électroniques au Monde (Il y a aussi la
Miami Winter Conférence mais c'est trop loin pour nous
et il s'y brasse plus de dollars que de clubbers amusants).
Sonar est fini et nous avons
déjà réservé nos entrées
2005 pour la douzième édition du grand trip
électro barcelonais.
Un peu fatigués et les
têtes toujours un peu dans nos souvenirs de danses,
musiques et rencontres sur les pistes chaudes du festival,
un bilan sous forme de "points forts" vs "points
faibles" semble nécessaire pour mieux évacuer
les sensations vécues.
Points forts*
> Caractère, toujours et encore, avant-gardiste
de la programmation et de la communication visuelle.
> Qualité des projections accompagnant les sets
des DJs.
> Présence de djs en pleine explosion voire ("icône
underground" ) comme Vitalic, Kid Koala et de djs accomplis
et valeureux tels Jeff Mills, François K ou Tiga.
> Le nombre et la qualité des soirées "off"
de labels et collectifs, organisées en dehors du festival,
dans tous les clubs de la ville.
> L'anti-Sonar, peuplé de chiens, travellers et
autres piercé(e)s, crache de la techno hardcore juste
à côté du blockaus de "Sonar Nuit"
à Montjuic 2. Pratique pour les infatigables pressé(e)s
de faire un after sans fin.
Points Faibles*
> Le son catastrophique que ce soit au Loft Club pour
le live de Vitalic ou sur le Sonar Park pour Herbert et 2
many DJs.
> La pauvreté criante du "Sonar Jour"
: peu d'expositions, une absence notable de créations
multimédia.
> Le lieu du "Sonar Nuit", qui manque magistralement
de charme.
Anne LS + Baptiste Jacquet
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sonar edition*
plus de 100 photos pas très nettes
shootées à Barcelone
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grand bal des pompiers
de la guillotière*
13 et 14 juillet 2004
Loin du concept-archi du Centre
de Secours de Nanterre. L'endroit fleure plutôt un air
de pub savonnée à l'illusion de France pacifiée.
Intemporel dans nos hyper-urbanités. Deux chapelles-sentinelles
de part et d'autre du bâtiment. Peur des retours de flammes
infernales ?...On pénètre par un porche, dans une
large cour plantée d'arbres. La grotte secrète
est là. the firegirl* à suivre...
chaque semaine dans l'hebdomadaire
Lyon Capitale
Caserne de la Madeleine*
à partir de 21h
3, rue de la Madeleine
lyon 69007
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music joint venturoa*
special sonar
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sonar soundz*
L'un est le
versant rocky et typé "electro-clash".
L'autre est le futur entêtant dosé "acid
house".
L'un est une
déconnade grisante des boss des labels Klang et Playhouse.
L'autre est un tantinet putassier (musicalement moyen mais
textuellement terrific).
Les deux ont
été joués par Miss Kittin, The Hacker,
2 Many Djs, Dj Hell, Tiga et many more sur nos dancefloors
barcelonais.
En écoute,
les bombasses, les hymnes du Sonar : Alter Ego et
Tiga
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alter ego* rocker
(420 Ko)
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tiga* pleasure from...
(1,4 Mo)
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bonus pour
l'été*
Mylo "drop
the pressure" et Scissor Sisters "Confortabley
Numb" sont à embarquer dans votre Ipod, tout
de suite, ici, la souris
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mylo* drop the pressure
(424 Ko)
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scissor sisters*
(432 Ko)
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Z2 voyage dans l'exposition *
zone critique
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le moine et le démon*
jusqu'au 15 août 2004
La culture qui
valait 2 milliards* Quels sont les
lieux culturels où l'on peut ressentir l'enthousiasme
et la fierté du personnel d'accueil d'une exposition,
qu'ils sentent intuitivement belle ? Un lieu où le personnel
de surveillance éprouverait du plaisir à transmettre
sa connaissance d'une installation qu'il trouve intelligente
et donc à la portée de tous. Une transmission orale
aussi précise que l'écrite pour décrire
les pièces ciments de la Longue Marche*, où
250 artistes ont retracé en 5 mois la route empruntée
par l'Armée Rouge de Mao Zedong qui parcouru de 1934 à
1936 une marche de 9654 km à travers toute la Chine :
"Zhan Wang pose la question de l'apport de nouvelles
technologies dans l'art, liées ici à l'influence
des phénomènes naturels dans la naissance des légendes.
Il réalise ainsi une météorite en acier,
évoquant une météorite tombée sur
le parcours de la Longue Marche au XVIe siècle avec pour
ambition, à terme, de l'envoyer dans l'espace."
Musée d'art contemporain *
Cité Internationale
Lyon 69006
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flashmoblyon*
revient nous faire du bien dans la ville
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La dernière
manifestation éclaire, flashmob, tendait les muscles des
participant(e)s pour un plongeon fictif dans le bassin de la
place de la République. C'était le 14 avril.
Depuis ?
Rien, sauf le
nombre d'inscrits et impatients pour une nouvelle aventure urbaine
qui culmine à 245 personnes motivées depuis le
dernier Netexpress*
Flashmob revient
dès le mois de juillet 2004 et pour les inscriptions et
infos
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l'urbiguidoa
_ guide urbain,
selectif et malpoli _
cette quinzaine
:
* le bocal de la Compagnie
Là Hors De
* Mathurin Botze s'exerce
au trempoline expérimental
* les nuits de fourvière
avec The Rapture et Vitalic
>> lire
ci-après et pointez
ici pour
faire part de vos
activités et/ou informations >>
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guide urbain sélectif et malpoli
petits concentrés
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le bocal up-date*
du 30 juin au 4 juillet 2004
LÀ HORS DE présente
RENCONTRE D'ARTISTES AGITÉS
6 éme édition
L'événement réunit à chaque fois
plus d'une cinquantaine d'artistes de divers horizons et convie
le public à assister « aux cuisines » de la
création.
Circulez dans les cuisines
! Il y a tout à voir*
UP Date propose un dispositif qui permet de rencontrer
des artistes au travail et dans les moments de convivialité,
autour d'un verre ou d'un repasLes spectateurs assistent "en
direct" et sans maquillage d'aucune sorte, à différentes
maniéres de créer, de s'approprier un texte, un
espace, et de répondre aux contraintes de la création
"express".
Modalités : Les auteurs tirent au sort un théme
et des contraintes concoctés par l'artiste, «agitateur»
de la manifestation, à partir desquels ils écrivent
des textes courts.
A l'issue de cette journée d'écriture, les équipes
artistiques se constituent suivant le même principe : les
metteurs en forme tirent au sort un texte et les interprétes
avec lesquels ils vont devoir travailler pendant trois jours,
ainsi que le lieu dans lequel ils vont devoir s'installer.
Curiosité : Le public est invité à
s'introduire dans les lieux de travail des équipes artistiques,
pour voir comment metteurs en forme, danseurs, et comédiens
s'emparent des textes pour travailler à la création
de formes artistiques diverses (petites formes théâtrales,
photographies, installations plastiques).
Les Rendez-vous
Pour découvrir les différentes étapes de
la création artistique :
Mercredi 30 juin / terrasse de la MJC de la Duchére
/ 18 h 30 *
À l'issue de la journée d'écriture à
la Médiathéque de Vaise, lecture des textes par
les auteurs, et constitutions des équipes artistiques.
Jeudi 1er, vendredi 2, samedi
3 juillet / de 10 heures à 23 heures *
Déambulation sur les différents lieux de travail
à la découverte des équipes de création.
Les informations concernent la localisation des différents
lieux de travail seront à votre disposition à la
MJC de la Duchére
Samedi 3, dimanche 4 juillet
/ Départ MJC de la Duchére / 20 heures *
Soirées déambulatoires au gré des différentes
formes artistiques résultant des trois jours de travail.
(Réservation indispensable)
Tous les jours et à toute heure *
Vous êtes invités à échanger en toute
convivialité avec les artistes et les écrivains,
autour d'un verre ou d'un repas sur la terrasse de la MJC de
la Duchére...
(Réservation indispensable pour les repas)
Infos pratiques *
Réservations obligatoires pour les deux soirées
déambulatoires et les repas par téléphone
au 04 72 85 02 79 ou par mail : info@lahorsde.com
Compagnie Là hors de*
MJC de la Duchére
237 rue des Érables
lyon 69009
tel : 04 78 35 39 21
Accés : Métro D arrêt Gare de Vaise
+ Bus 36 arrêt terminus
ou Bus 44 et 66 arrêt Château
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Mathurin Bolze *
répétition
Samedi 26 juin 2004
En clôture des Intranquilles*,
Mathurin Bolze nous convie à une réunion de travail
et devance l'erreur que nous pourrions commettre : ceci n'est
pas un spectacle. Comme un magicien qui dévoilerait ses
tours, Mathurin explique la technique, la machinerie qui existe
derrière ses représentations. Il prend judicieusement
soin d'arrêter les scènes avant que nous y prenions
goùt.
La poésie de son travail est omniprésente dans
ses ébauches et tentatives qui ne seront peut-être
jamais reprises. Ce spectacle en création
sera présenté en automne 2005 aux Subsistances. Anne LS
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GUIDEXPRESS | Toute sortie sera considérée
comme définitive... |
| Nuits de Fourvière
samedi 3 juillet 2004
Il y a quelques semaines, nous
annoncions LA soirée de ce début d'été
à Lyon soit la colision de The Rapture, Vitalic
et 2 Many Djs. Depuis, la nuit du 3 juillet
s'est sévèrement chargée et a subi quelques
modifications dans sa programmation. Premier lancé* Ellen
Allein rejoint le trio
de superstars pour un dj-mix que l'on prévoit sans révolution.
L'allemande joue des platines correctement mais n'a pas inventé
l'acétate. Deuxième lancé*
2 Many djs annule son
mix du grand soir. Troisème lancé.
Les programmateurs des Nuits invitent the glimmer twins
et antipop (also known as telepopmusik). Les premiers
checkent le groove et l'aridité de styles aussi gouteux
que le hip-hop, l'acid, la soul et le rock crados. Les seconds,
euh, beh, on ne sait pas. Enfin, le souvenir de la version live
de Telepopmusik à La Marquise n'est pas très bon. Enfin, le beadoa CS sera, au
complet, dans l'arène. Anne LS et Baptiste Jacquet hurlant à
chaque fois que Vitalic les regardera. line_up*
19h > 20h * ANTIPOP aka TELEPOPMUSIK (DJ set)
20h > 21h15 * ELLEN ALLIEN (DJ set)
21h15 > 21h45 * THE INFADELS (live)
21h45 > 22h * ANTIPOP aka TELEPOPMUSIK (DJ set)
22h > 23h15 * THE RAPTURE (live)
23h15 > 00h45 * THE GLIMMER TWINS (DJ set)
00h45 > 1h30 * VITALIC (live)
Pour écoute les "tchik
boums" de Vitalic, cliquez sur les liens ci-contre. la souris par ici *
nuits-de-fourviere.org |
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bon pour l'exil*
le bien engagé assassin
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Dans le dernier Netexpress,
nous avions annoncé la mise en place d'une nouvelle
rubrique nommée "Peloton d'exécution".
Après discussions, par crainte de passer pour de
vilains petits criminels ou de se retrouver devant un tribunal
(un vrai, pour le coup), nous avons changé le fusil
d'épaule (sic) et requalifié l'objet de nos
attaques en bon pour l'exil*. Nous aurions pu inaugurer
ce nouvel édito engagé par le changement de
politique culturelle au Rectangle (centre d'art contemporain
à Lyon) ou massacrer les 60 lions exposés
dans la ville ou, encore, canarder un journaleu quelconque,
indigne de la profession d'information. Mais, pour cette
première, notre "client" idéal est
:
Madame la directrice du
CHRD*
Jeudi 24 juin 2004. Steven
Cohen, artiste en résidence aux Subsistances et accéssoirement
sud africain, juif et homosexuel, entreprend une performance
"sauvage" au Centre d'histoire de la Résistance
et de la Déportation à Lyon. Le performer
ne fait aucun bruit. Il ne court pas dans tous les sens.
Il est seul. Il ne tente d'approcher personne. Il ne commet
aucune dégradation matérielle. Non, il commet
une dégradation... Enfin, la directrice des lieux
considérera la non-violence de l'artiste comme quelque
chose de dégradant ou dans le genre obsène,
pornographique. Disons que Steven Cohen se présente
dans la cour presque nu. Pas de cette nudité à
la mode qui consiste à se dépoiler et courir
sur un stade ou après la Bentley de Queen Mum. Non,
une fausse nudité : une étoile de David surdimensionnée
sur la tête, un maquillage de doux travelos sur le
visage et une loupe grossissante sur le sexe (tellement
grossissante qu'il est difficile d'apercevoir un bout de
queue à travers). L'homme se déplace sur des
chaussures (type Drag Queen) avec maladresse mais à
pas feutrés. Il s'immobilise au milieu de la cour
et regarde tendrement autour de lui. La scène dure
une dizaine de minutes avant que trois policiers élevés
à la Sarkozyte ne viennent bousculer l'artiste et
le menoter. Madame la directrice du CHRD a appelé
les forces de l'ordre (le nouvel ordre) sans même
se questionner ou questionner Steven Cohen sur sa présence
pacifiée dans le lieu.
Bon pour l'exil.
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Z2 s'interroge sur le street art *
zone critique
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Encore une interview ratée * |
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Dans mon plaisir de me confronter à l'art, je me pose
souvent la question de l'accès à la peinture. J'aime
moyennement les musées. Les catalogues rompent le filtre
de la peinture par son mode de reproduction. Les galeries sont
trop peu adaptées à l'arrêt du temps et les
ateliers sont des lieux trop intimes et rares pour nous exposer
à la diversité. Jusqu'à présent,
j'ai trouvé deux solutions. La première, que je
trouve extraordinaire par sa spécificité culturelle
à la française : les artothéques. Ces
lieux qui offrent à tout un chacun la possibilité
de s'attacher à la peinture comme un arrêt du temps.
La deuxième possibilité est le graffiti. Oui, le
graff qui, au fil du temps, a été rejoint par le
Street Art comme une forme de reconnaissance, au moins
lexicale. Le graff est proche de la peinture dans ce qu'il offre
comme seconde vie (à un mur, un lieu) tout en offrant
un temps de pause (aux passants, aux habitants de la ville).
Je souhaitais donc mener une interview des acteurs clés
du mouvement Street art à Lyon. Arno Piroud
et ses interventions urbaines photo*, les Kanardo et leur recueil
"Art de rue" enfin Cart'1 qui impulse son savoir
faire de graffer dans la maquette du magazine Trublyon*.
Et puis patatras. Un double cataclysme s'abat sur moi :
La sortie du N°2 du magazine Curious* avec un dossier
"j'aime ma rue" qui après celui de A
nous Paris* classe définitivement le Street Art
dans la catégorie des sujets à la mode. Et
ce qui m'intéresse dans la mode, c'est le point de départ,
celui qui a porté l'écharpe verte le premier. Puis
l'apparition des 60 lions* en carton-pâte enguirlandés
et placés un peu partout dans la ville. Par ces dernières
installations municipales, le Street art devenait Art
urbain à travers une manifestation totalement dépourvue
de coordination artistique et qui sent l'excédent budgétaire
culturel. Un peu comme les militaires qui font tourner en rond
les camions dans la cour de la caserne pour justifier d'un budget
identique à l'année précédente.
Le sujet était donc mort-né avant que je n'observe
ces centaines de gens avec leurs VTT et leurs K-ways faire le
parcours du Lyon à 60 lions. A faire des photos, des poses
en famille, un peu comme en Afrique autour de ce roi des animaux
assassinés. Je les ai vu voter pour leur préféré.
Un peu comme un jour d'Eurovision quand on sacrifie la qualité
chanson sur l'autel du chauvinisme.
Et puis, je me suis dis que sur ces clichés il y avait
des enfants. Des enfants qui en tirant la queue du lion coloré
et exposé dans la rue, mettaient peut-être le pied
à l'étrier du plaisir d'apprécier l'art
urbain. Une forme de parcours ludique qui les emmènerait
peut être sur des voies artistiques d'une plus grande acuité.
Une sensibilité visuelle urbaine. Une approche de la ville
par un regard qui s'attache à ce qui détonne dans
le béton. Au départ un lion bigarré, puis
un graff qui va lui parler, l'interpeller ou l'amuser. Éventuellement
un feu rouge rendu humain par un coeur ("les feux de l'amour"
par Arno P.) puis des panneaux de signalisation détournés
(expo bopano.net par Kanardo) et finalement une disponibilité
et une ouverture sur tout l'espace public. L'errance de Depardon,
la perception de l'urbanisme, de son développement durable.
Dans la beauté de ses parcs, de son art urbain, de ses
jardins qui fleurissent de la tête d'un artiste (Emmanuel
Louisgrand créé tout cet été,
en collaboration avec la Galerie Tator, son Jardin d'art*
ou le végétal part à la reconquête
de la ville et de ses riverains). Dans la défense de cet
arbre à coté de chez soi. Celui qui abrite les
oiseaux qui gazouillent le matin qui se lève, ou celui
ou l'on se couche.
Z2
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tennis mouillé*arno
piroud |
la souris
par ici *
www.bopano.net
www.obeygiant.com
www.banksy.co.uk
www.ekosystem.org
www.woostercollective.com
www.space-invaders.com
www.francois-morel.com
www.eltono.com
www.monsieura.com
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Artothéque de Villeurbanne*
247, cours Emile Zola
villeurbanne 69100
Artothéque municipale de Lyon*
30, boulevard Vivier Merle
lyon 69003
Galerie Roger Tator*
"l'Ilot d'Amaranthes"
tout l'été
croisement de la rue Sébastien Gryphe et Montesquieu
lyon 69007
Art de Rue - Worldwide Street Stuff*
by Kanardo
publié chez Artifacts |
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informer
beadoa de vos activités
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